Gestion de la douleur lombaire (bas du dos) aiguë et chronique

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Physiothérapie Solution Active élaborera un plan de traitement non invasif pour votre douleur lombaire (bas du dos) qu’elle soit aiguë ou chronique. Ce plan vous donnera des outils afin d’aider à éliminer cette douleur de votre vie!

QU'EST-CE QUE C'EST?

Les douleurs lombaires sont très communes et touchent à peu près 84% de la population (1). Environ 12 à 33% de la population adulte souffre actuellement de douleur lombaire (2). Elle est la cause la plus fréquente de limitations aux activités pour les personnes âgées de 45 ans et moins (3). Malgré le fait que la majorité des patients arrêtent généralement de consulter leur médecin à l’intérieur d’une période de trois mois (4,5), 33% de ceux-ci sont toujours aux prises avec une douleur modérée ou sévère un an après leur épisode initial de douleur. De plus, 20% rapportent des limitations par rapport à leurs activités (6). Lorsque vous n’êtes pas satisfaits de l’amélioration de vos symptômes, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé.

Les douleurs lombaires peuvent être très incommodantes. Si vous souffrez  d’un épisode de douleur lombaire aiguë, vous serez en mesure de reprendre vos activités régulières à l’intérieur d’un mois dans 75 à 80% des cas (6). Plusieurs lignes directrices (7,8) et études scientifiques (9,10) ont démontré l’importance de demeurer le plus actif possible lors d’un épisode de douleur lombaire. Il a été démontré par ces études qu’une personne qui retourne rapidement  à ses activités a moins de chances de développer une douleur lombaire chronique. Lorsque votre douleur ne s’améliore pas aussi rapidement que vous le désiriez ou si elle est incommodante, il est recommandé de consulter un professionnel de la santé.

Un épisode de mal de dos qui persiste plus de 12 semaines est considéré comme chronique. Il est important de consulter un professionnel de la santé afin d’éliminer toutes causes médicales sérieuses pouvant possiblement être à l’origine de cette douleur au dos.  La douleur lombaire chronique peut provenir de plusieurs sources. Les facteurs suivants jouent un rôle dans la douleur lombaire chronique : facteurs biomécaniques, physiologiques, psychologiques et sociaux. Les personnes souffrant de douleur lombaire chronique présentent généralement une réduction de mobilité (11), des problèmes d’équilibre (12), des problèmes posturaux (13) et une diminution de la force musculaire (14). Ces changements peuvent être le résultat de la blessure initiale ou encore être reliés au manque d’activité physique.  De plus, ils peuvent avoir un effet sur votre douleur. La douleur lombaire persistante affecte le système nerveux en augmentant sa sensibilité générale. Cette augmentation de sensibilité peut faire en sorte de prolonger votre sensation de douleur au dos (15) même si la blessure originale aux différents tissus est guérie.

La douleur lombaire peut causer de la peur, de l’anxiété et du stress. Ces émotions peuvent affecter votre rétablissement à la suite d’une blessure (16). Par conséquent, il est important d’adresser les émotions reliées à votre douleur au dos pour aider votre rétablissement.

Votre attitude, vos croyances ainsi que vos comportements sont tous des facteurs importants dans la transition d’une douleur aiguë vers une douleur chronique (17). Voici certains exemples qui peuvent avoir une influence: s’attendre toujours au pire, croire que la douleur ne peut être contrôlée et qu’elle est néfaste, avoir une attitude passive par rapport à la réadaptation, éviter de faire ses activités normales ou toutes activités sociales, etc. (16). Les études scientifiques ont démontré que les traitements qui ciblent aussi ses attitudes et croyances négatives ont plus de succès (18,19) et que les patients qui adoptent une attitude et des croyances positives  sont plus fonctionnels dans leur vie quotidienne (20)!

La douleur lombaire peut entraîner des problèmes chroniques suite à un épisode répété de douleurs au dos. Le taux moyen de récurrence dans la première année d’un problème lombaire est estimé à 75% (21,22) et le temps moyen entre deux épisodes est de six mois (23). Les épisodes récurrents ont malheureusement tendance à s’aggraver avec le temps (24,25). Il devient donc très important d’identifier la cause du problème lors d’épisodes répétés de douleur lombaire. Identifier et traiter la cause peuvent aider à prévenir d’autres épisodes futurs.

QUELLES SONT LES CAUSES?

Plusieurs structures du bas du dos peuvent provoquer de la douleur. Les ligaments, les muscles, les articulations facéttaires, les disques intervertébraux, l’articulation sacro-iliaque et les nerfs sont des causes potentielles. La compression d’un nerf peut aussi causer une douleur au dos, plus bas dans la jambe de même que dans le pied (sciatique). Cette compression peut entraîner une faiblesse musculaire, une perte de réflexe et des changements au niveau de la sensation incluant des picotements et des engourdissements. La région lombaire, le bassin et la hanche peuvent tous causer de la douleur à des endroits similaires; il est donc important d’identifier correctement la source du problème.

TRAITEMENTS

Si vous avez une demande de consultation en physiothérapie ou si vous avez opté pour un traitement sans médicament pour votre douleur lombaire, les physiothérapeutes de Physiothérapie Solution Active à Montréal sont là pour vous aider. Nos physiothérapeutes qualifiés feront une évaluation complète de votre problème. Cette dernière inclut aussi un dépistage des problèmes médicaux sévères et des problèmes requérant des examens médicaux plus poussés.

Notre processus d’évaluation fiable nous permet de déterminer la façon la plus efficace de traiter vos maux de dos et de la personnaliser. Notre but est de bien comprendre votre douleur lombaire et de déterminer les exercices et positions spécifiques qui vous aideront à reprendre le contrôle de votre douleur et de vous aider à l’éliminer de votre vie.

La plupart de nos patients se sentent mieux dès la première séance. Nous sommes aussi en mesure de déterminer si notre approche fonctionnera pour votre condition à l’intérieur de trois séances. La majorité de nos patients ont besoin de moins de six séances de physiothérapie.

À Montréal, les médecins sont généralement les premiers professionnels de la santé consulté par les personnes souffrant de douleur lombaire. Il/elle vous posera des questions concernant vos symptômes, fera un examen physique et prescrira des tests médicaux plus poussés si nécessaire. Le diagnostic inclut souvent les conditions suivantes : entorse lombaire, dégénérescence discale, arthrite de la colonne vertébrale, hernie discale et compression nerveuse. Le/la médecin vérifie généralement qu’aucun problème sérieux n’est suspecté (tels que fracture, infection, cancer, etc.). Il/elle peut suggérer la prise de médicaments de type anti-inflammatoire, relaxant musculaire ou autres médicaments pour la douleur et vous informera que votre douleur devrait normalement partir d’ici quelques semaines. Il/elle peut aussi vous référer en thérapie pour des traitements de votre dos.  Si vous avez déjà consulté un(e) médecin et votre douleur ne s’améliore pas aussi rapidement que vous le désiriez, un(e) thérapeute pourrait être en mesure de vous offrir une solution de traitement sans médicament qui aura pour but d’améliorer votre douleur et trouver la cause du problème.

Si votre douleur persiste pour plus de 6 à 12 semaines votre médecin décidera peut-être que des tests médicaux plus poussés ou une référence médicale à un spécialiste (par exemple un physiatre, un orthopédiste ou un neurologue) sont nécessaires. Ces spécialistes déterminent généralement si vous êtes un candidat pour des traitements plus agressifs tels que la prise de médicaments plus forts pour la douleur, de médicaments pour une douleur spécifique aux nerfs, ou des antidépresseurs pour leur effet connu pour aider la douleur chronique chez certaines personnes. Des traitements plus invasifs incluent une injection, un bloc nerveux, une épidurale et parfois une chirurgie. La chirurgie peut être une option pour les patients qui ont essayé plusieurs types de traitements conservateurs (c’est-à-dire médicaments et diverses thérapies) sans succès  ou qui présentent des signes de compression nerveuse importants causés par un disque ou une sténose spinale (un rétrécissement de l’espace où les nerfs voyagent dans la colonne vertébrale) (6). Généralement, les chirurgies ne sont pas plus bénéfiques à long terme que les traitements conservateurs. Par contre, les effets à court terme peuvent être ressentis plus rapidement (26,27,28).

La méthode McKenzie/ Diagnostic et Thérapie Mécanique (MDT) est une approche de traitement active soutenue par de nombreuses évidences scientifiques.  Son but est de permettre au patient de prendre le contrôle sur sa douleur, et ce avec le moins de visites possible en thérapie. La méthode McKenzie/MDT met l’accent sur la classification de votre problème lombaire afin d’identifier le meilleur traitement possible pour votre condition au lieu de développer une théorie sur une structure spécifique pouvant être la cause de votre problème. Malgré la mise en évidence sur le traitement par classification, la méthode McKenzie/MDT aide à différencier les problèmes provenant du disque intervertébral (34), des articulations facettaires (35) et des articulations sacro-iliaques (36). Les avantages de l’utilisation de la méthode McKenzie/MDT par rapport à d’autres tests diagnostiques incluent: son coût beaucoup moins élevé, le fait qu’elle ne requière pas de technique invasive et le fait qu’elle permet d’identifier la méthode de traitement la plus efficace pour un problème spécifique. Avant de considérer d’autres options de traitement, considérez notre approche active de traitement. Elle est prouvée pour être efficace dans le traitement des douleurs lombaires aiguës ou chroniques (37,38,39,40,41), et ce même pour des cas de patient(e)s ayant été jugé(e)s admissibles comme candidats pour une chirurgie (42,43). La méthode McKenzie/MDT est aussi efficace pour la prévention des maux de dos (44).

Le traitement de la douleur lombaire de la méthode McKenzie/MDT insiste sur l’éducation et les exercices avec l’ajout de techniques manuelles si nécessaire. En général, les traitements tels qu’ultrasons et stimulation électrique (par exemple TENS) sont très peu utilisés, car les évidences scientifiques sur l’efficacité de ces traitements sont faibles (45,46). De plus, les évidences scientifiques appuient de façon positive le traitement incluant l’éducation, les exercices et les techniques manuelles (7,8)  Notre but est de vous donner les outils nécessaires qui vous permettront de prendre le contrôle sur votre douleur.

Les exercices prescrits avec la méthode McKenzie/MDT sont fondés sur la réponse qu’ils provoquent lors de l’évaluation.  Ils ont pour but de diminuer la douleur ou d’améliorer la mobilité. Les exercices qui ont un effet positif sur vos symptômes sont priorisés, car vous serez plus motivés à les faire à cause des effets positifs et immédiats sur vos symptômes. En s’assurant que vous compreniez bien les différents mouvements et positions qui irritent votre problème et en vous donnant des solutions pour diminuer vos symptômes, il est très fréquent de voir une amélioration rapide de votre condition. Vous prendrez ainsi le contrôle de votre problème.

Il a été démontré que la méthode McKenzie/MDT peut améliorer rapidement les symptômes chez le 3/4 des patients ayant une douleur lombaire aiguë et chez la moitié des patients ayant une douleur lombaire chronique (47).  Nous sommes généralement en mesure de déterminer si vous êtes susceptible de répondre rapidement aux traitements à l’intérieur de trois séances. Pour les patients qui ne répondent pas aussi rapidement au traitement, nous sommes aussi en mesure de déterminer si un programme d’exercices de conditionnement général est plus approprié, si les étirements seront une partie essentielle du traitement ou si une composante posturale fait partie de votre problème. Ces types de traitements peuvent être tous aussi efficaces que ceux utilisés chez les gens qui répondent rapidement à la méthode McKenzie/MDT, mais les résultats sont plus lents. Nous donnons à chaque patient des conseils sur les activités bénéfiques et les activités nuisibles à leur condition. Le facteur clé est votre implication dans le processus de traitement. Notre approche spécialisée vous donnera les outils pour diminuer et très souvent éliminer votre douleur lombaire aiguë ou chronique.

Vous n’avez pas besoin de référence médicale pour consulter un thérapeute (par contre, certaines compagnies d’assurances l’exigent pour le remboursement de frais). Les options de thérapie pour le traitement de la douleur lombaire incluent l’acupuncture, la chiropractie, la massothérapie, l’ostéopathie ou la physiothérapie. La plupart des thérapies précédemment mentionnées mettent principalement l’accent sur une thérapie passive, où le thérapeute exécute le traitement correctif sans participation active du patient. La thérapie active met l’accent sur les exercices, l’éducation et l’implication du patient dans le processus de traitement. Il existe de nombreuses évidences scientifiques qui ont démontré les effets bénéfiques des exercices et de la thérapie active pour les douleurs lombaires (1,2,3). La vaste majorité des lignes directrices médicales dans le monde entier appuie l’utilisation d’une approche active, incluant les exercices et l’éducation du patient, pour le traitement des douleurs lombaires (4).​

IMAGERIE MÉDICALE

L’imagerie médicale, telle que l’imagerie par résonance magnétique (IRM), la tomodensitométrie (scan) et les radiographies (rayons-X), n’est pas recommandée par le Collège américain des médecins / Société américaine de la douleur (7) et plusieurs autres lignes directrices mondiales (10) à moins de présenter les caractéristiques suivantes :

1. des signes ou symptômes de pathologie médicale sérieuse ou de compression nerveuse progressive, ou

2. une chirurgie ou une injection est considérée comme méthode de traitement.

Ce pourcentage augmente à 57% pour les gens âgés de plus de 60 ans (32). À cause de ce taux élevé d’anomalies dans la population générale, il devient difficile de déterminer si une anomalie détectée par l’imagerie est la cause de la douleur lombaire chez une personne souffrant de maux de dos. L’utilisation de l’imagerie médicale est très coûteuse, n’est pas capable d’identifier la cause du problème et n’augmente pas vos chances de vous rétablir avec succès (7). C’est lors d’une évaluation clinique complète que les facteurs pertinents à votre problème deviennent apparents.

Le recours à l’imagerie médicale, lorsque des interventions non chirurgicales (médicaments et thérapies) sont envisagées, a été démontré comme étant plus nuisible aux patients (29,31,31) à cause du nombre très élevé d’anomalies détectées par l’imagerie médicale chez des personnes n’ayant jamais eu de douleur lombaire ou de symptôme de type sciatique. Il a été démontré que 20% des personnes âgées de moins de 60 ans qui n’ont pas de douleur lombaire ont des anomalies significatives lors de tests d’imagerie médicale (par exemple: une hernie discale ou une compression nerveuse)(32)

Options de traitement

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Cliniques

1 – Balagué, F., Mannion, A. F., Pellisé, F., & Cedraschi, C. (2012). Non-specific low back pain. The Lancet, 379(9814), 482-491.
2 – Walker, B. F. (2000). The prevalence of low back pain: a systematic review of the literature from 1966 to 1998. Journal of Spinal Disorders & Techniques,13(3), 205-217.
3 – Andersson, G. B. (1999). Epidemiological features of chronic low-back pain.The lancet, 354(9178), 581-585.
4 – Croft, P. R., Macfarlane, G. J., Papageorgiou, A. C., Thomas, E., & Silman, A. J. (1998). Outcome of low back pain in general practice: a prospective study.Bmj, 316(7141), 1356.
5 – Dillane, J. B., Fry, J., & Kalton, G. (1966). Acute back syndrome—a study from general practice. BMJ, 2(5505), 82-84.
6 – Von Korff, M., & Saunders, K. (1996). The course of back pain in primary care.Spine, 21(24), 2833-2837.
7 – Chou, R., Qaseem, A., Snow, V., Casey, D., Cross, J. T., Shekelle, P., & Owens, D. K. (2007). Diagnosis and treatment of low back pain: a joint clinical practice guideline from the American College of Physicians and the American Pain Society. Annals of internal medicine, 147(7), 478-491.
8 – Koes, B. W., van Tulder, M., Lin, C. W. C., Macedo, L. G., McAuley, J., & Maher, C. (2010). An updated overview of clinical guidelines for the management of non-specific low back pain in primary care. European Spine Journal, 19(12), 2075-2094.
9 – Hayden, J., Van Tulder, M. W., Malmivaara, A., & Koes, B. W. (2005). Exercise therapy for treatment of non‐specific low back pain. The Cochrane Library.
10 – Kankaanpää, M., Taimela, S., Airaksinen, O., & Hänninen, O. (1999). The Efficacy of Active Rehabilitation in Chronic Low Back Pain: Effect on Pain Intensity, Self‐Experienced Disability, and Lumbar Fatigability. Spine, 24(10), 1034-1042.
11 – Mayer, T. G., Tencer, A. F., Kristoferson, S., & Mooney, V. (1984). Use of noninvasive techniques for quantification of spinal range-of-motion in normal subjects and chronic low-back dysfunction patients. Spine, 9(6), 588-595.
12 – Radebold, A., Cholewicki, J., Polzhofer, G. K., & Greene, H. S. (2001). Impaired postural control of the lumbar spine is associated with delayed muscle response times in patients with chronic idiopathic low back pain. Spine, 26(7), 724-730.
13 – Dankaerts, W., O’Sullivan, P., Burnett, A., & Straker, L. (2006). Differences in sitting postures are associated with nonspecific chronic low back pain disorders when patients are subclassified. Spine, 31(6), 698-704.
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18 – George, S. Z., Fritz, J. M., Bialosky, J. E., & Donald, D. A. (2003). The effect of a fear-avoidance–based physical therapy intervention for patients with acute low back pain: results of a randomized clinical trial. Spine, 28(23), 2551-2560.
19 – Nicholas, M. K., Linton, S. J., Watson, P. J., & Main, C. J. (2011). Early identification and management of psychological risk factors (“yellow flags”) in patients with low back pain: a reappraisal. Physical therapy.
20 – Jensen, M. P., Turner, J. A., Romano, J. M., & Karoly, P. (1991). Coping with chronic pain: a critical review of the literature. Pain, 47(3), 249-283.
21 – Pengel, L. H., Herbert, R. D., Maher, C. G., & Refshauge, K. M. (2003). Acute low back pain: systematic review of its prognosis. Bmj, 327(7410), 323.
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27 – Chou, R., Loeser, J. D., Owens, D. K., Rosenquist, R. W., Atlas, S. J., Baisden, J., … & American Pain Society Low Back Pain Guideline Panel. (2009). Interventional therapies, surgery, and interdisciplinary rehabilitation for low back pain: an evidence-based clinical practice guideline from the American Pain Society. Spine, 34(10), 1066-1077.
28 – Jacobs, W. C., van Tulder, M., Arts, M., Rubinstein, S. M., van Middelkoop, M., Ostelo, R., … & Peul, W. C. (2011). Surgery versus conservative management of sciatica due to a lumbar herniated disc: a systematic review. European Spine Journal, 20(4), 513-522.
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39 – Browder, D. A., Childs, J. D., Cleland, J. A., & Fritz, J. M. (2007). Effectiveness of an extension-oriented treatment approach in a subgroup of subjects with low back pain: a randomized clinical trial. Physical therapy, 87(12), 1608-1618.
40 – Deutscher, D., Werneke, M. W., Gottlieb, D., Fritz, J., & Resnik, L. (2014). Physical Therapists’ Level of McKenzie Education, Functional Outcomes, and Utilization in Patients with Low Back Pain. Journal of Orthopaedic and Sports Physiotherapy, 44(12), 925-936
41 – Surkitt, L. D., Ford, J. J., Hahne, A. J., Pizzari, T., & McMeeken, J. M. (2012). Efficacy of directional preference management for low back pain: a systematic review. Physical therapy, 92(5), 652-665.
42 – Helvoirt, H., Apeldoorn, A. T., Ostelo, R. W., Knol, D. L., Arts, M. P., Kamper, S. J., & Tulder, M. W. (2014). Transforaminal Epidural Steroid Injections Followed by Mechanical Diagnosis and Therapy to Prevent Surgery for Lumbar Disc Herniation. Pain Medicine.
43 – Albert, H. B., & Manniche, C. (2012). The efficacy of systematic active conservative treatment for patients with severe sciatica: a single-blind, randomized, clinical, controlled trial. Spine, 37(7), 531-542.
44 – Larsen, K., Weidick, F., & Leboeuf-Yde, C. (2002). Can passive prone extensions of the back prevent back problems?: A randomized, controlled intervention trial of 314 military conscripts. Spine, 27(24), 2747-2752.
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48 – Chou, R., & Huffman, L. H. (2007). Nonpharmacologic therapies for acute and chronic low back pain: a review of the evidence for an American Pain Society/American College of Physicians clinical practice guideline. Annals of internal medicine, 147(7), 492-504.
49 – May, S., & Aina, A. (2012). Centralization and directional preference: A systematic review. Manual therapy, 17(6), 497-506.

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